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Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis

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Isobel Williams

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MessageSujet: Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis EmptyLun 17 Jan 2011 - 8:12

EVERLEIGH & BRISEIS


Ambre, je lui ai fait du mal. Il faut que je la rappelle. Il est où mon portable ? J'ai du le laisser traîné sur la table du salon. C'est bien silencieux ici ce matin. Est-ce que Kyle est à la maison hier soir ? Il n'a peut-être pas dormi à la maison ou peut-être qu'il est encore endormi, à moins qu'il soit sorti ?

Je venais à peine d'ouvrir les yeux et me perdait déjà dans mes pensées. La première fut pour Ambre ce matin. J'avais encore la soirée de la veille à l'esprit. J'avais bien essayé d'appeler la jeune femme après le départ de Matt, mais j'étais tombée sur sa messagerie. Je n'avais pas laissé de message. Je tournais la tête en direction du radio réveil qui indiquait dix heures. Les réveils matinaux, ce n'était pas mon truc et c'est pour ça que je ne me levais jamais avant dix heures. Heureusement que mon emploi ne m'obligeait pas à me lever à sept heures du matin comme la plupart des travailleurs. Cela me plaisait bien de travailler le soir. J'aimais la nuit plus que le matin. Je m'étirais puis, soulevais la couette et m'asseyais su le bord du lit, les pieds au sol. Je baillais, avant de le lever. J'enfilais mes chaussons et sortait de la chambre. Je portais toujours mon pyjama un débardeur rouge uni ainsi qu'un mini short noir. Ce n'était pas vraiment de saison, mais il faisait suffisamment bon chez moi. Je n'avais pas besoin d'enfiler une tenue polaire avec des charentaises. L'appartement était silencieux ce qui indiquait que Briséis était soit endormi, soit absent. Ma première obsession fut de retrouver mon portable pour essayer de joindre Ambre. La situation n'était pas plus claire que la veille dans ma tête. J'étais toujours bouleversée par ses larmes, elle qui plusieurs heures plus tôt se trouvait là debout à l'endroit exact où je me trouvait, annonçant qu'elle avait le cœur brisé. Il fallait que je lui parle, que j'arrange la situation. Le simple fait de savoir que je la faisais souffrir me faisait du mal. Je ne me sentais pas très bien ce matin, j'étais aussi mal qu'après le départ d'Ambre et ne pouvais m'empêcher de ressasser cette soirée. Je ne trouvais pas mon téléphone sur la table du salon et le cherchait sur les autres surfaces, avant de l'apercevoir par terre en dessous de cette table basse. Je fronçais les sourcils, avant de me pencher pour le ramasser. J'activais immédiatement l'écran, ayant l'espoir stupide d'un appel manqué d'Ambre. Hélas, celle-ci n'avait pas essayé de me joindre. Il fallait s'y attendre. J'étais prête à parier qu'elle ne voudrait plus jamais me voir, ni me parler. Je cherchais le numéro d'Ambre dans mon répertoire. Dès que je le trouvais, j'appuyais sur la touche appel. Je sentis mon cœur battre sous ma poitrine répétant en boucle dans ma tête « décroche, décroche ». Quelques sonneries suffirent avant que la messagerie vocale se déclenche.

« Bonjour, c'est Everleigh. Je suppose que tu ne veux pas avoir à faire à moi, mais j'aimerais vraiment te parler à propos d'hier soir... Je te rappellerais. » - laissais-je entendre sincère et désolée. Je coupais la communication une fois mon message enregistré. Je regardais mon téléphone et le posais sur la table de salon, lorsque je senti une présence dans le salon, derrière moi. Je me tournais pour faire face à mon frère qui semblait me fixer - « Bonjour toi. » - exprimais-je avec un sourire léger - « Tu me surveilles depuis longtemps ? » - dis-je avec une fausse ironie. La réponse m'intéressait à vrai dire.
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MessageSujet: Re: Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis EmptyLun 31 Jan 2011 - 9:01



Fuck. Que pouvais-je dire encore ? Shit. Ah et mon favori Son of the Bitch. Ne me prenez pas pour un garçon sans aucune éducation. Pff, franchement vous n’y comprenez rien. Regardez-vous. Vous puez le bling-bling et le prout-prout. Odeur nauséabonde en approche. Vous voulez que je vous explique ? Et vous voulez pas que je le fasse en chinois, aussi ? Bon, o.k. Je suis un peu en mode déprime, dur journée. J’ai été pris en flagrant délit. Quel délit ? Reproduction, ça vous rappelle quelque chose ? J’ai offert un petit verre à une demoiselle, au bar. Elle a proposé de m’attendre pour qu’on finisse la soirée en beauté. Sauf que… Je ne suis pas patient. Je lui ai dit de contourner le bar et d’y aller franco. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir. Cette fille, elle avait une putain de bouche ! Un aspirateur que je vous dis ! Fin bref. Elle a fini par m’attirer des ennuis. Le chef était pas super content. Mais assez compréhensif. Etonnant ? J’ai peut-être utilisé quelque chose… Pas une substance illégale, quelque chose de surnaturel. Dans tous les cas, ça m’a gonflé. Bah la fille s’est barrée, quoi. J’ai même pas eu le temps de lui interdire de partir. Déjà envolée la saloperie. J’étais à deux doigts de conclure ; Et je déteste les filles qui s’arrêtent pendant l’acte. Genre « a finalement mon chéri j’en ai plus envie ». Oui mais moi tu me fais bander, et tu me laisses pas conclure. Et tu t’étonnes que j’aille voir ailleurs ? Ah oui, parce que y’a ça aussi…

Ma copine du moment n’a pas supporté de rencontrer la deuxième copine du moment. Et quand la troisième est arrivée –meilleur amie de la cinquième- je me suis pris une belle trempe. J’ai presque cru retourner à la primaire, quand la maîtresse m’avait frappée devant toute la classe parce que j’avais regardé dans son décolleté… Rah, les femmes. Elles finiront par me tuer si je ne le fais pas avant. En tout cas, il y avait un bon point dans cette histoire. La quatrième était avec moi. Et elle ne savait rien des sept autres. Oups, pardon. Des huit autres. Et je peux vous dire qu’elle a des manières très sensuelles d’exprimer son appétit. Aujourd’hui elle aimait la.. Hum… Sobriété des soubrettes. J’aimais aussi. Je l’embrassais. Encore une fois, et encore une. Je l’ai prise comme une chienne sur la table basse. Je me suis détesté d’être ce que je suis. D’être un homme. Et je l’ai balancé dehors. Nue comme un ver. Salop, hein ? Je me vengeais. Méchant garçon que je suis…

Mais le garçon était épuisé. Huit filles, ça tue. Ca me tue. Je devrais réduire le chiffre. Ahh, plus besoin. Elles ont réglé ce problème. Nouvelle phase de badmoment. Je m’en vais sous les draps, roupiller en paix. Parce que j’ai besoin de calme, de me retrouver moi et moi seul. Ne plus être ce lâche et ce sagouin. Parce que j’avais été vache aujourd’hui. Ordinaire, j’étais plus enclin à la douceur. Mais Ambre m’avait gavé l’autre soir. Saoule comme un bœuf. Pouaf. Oublions ça et dormons. Un mouton, deux moutons, trois moutons… Soixante dix neuf moutons. Paf. Le sommeil. La délivrance. L’armistice. Mon rêve est tendre. Presque innocent. Je suis là, seul face à l’hôtel. Une femme, drapée de blanc, s’avance. Mon cœur chantonne aux rythmes de sa marche nuptiale. Un voile barre son visage. Son doux visage. Je le suppose. Elle relève le fin tissu, dévoilant un visage connu.

« NAAAAAAAAAN ! »

Ca aurait pu être Ambre. Everleigh même. Malheureusement pour moi, ce fut l’affreuse mégère du deuxième étage. Celle qui était plus rapide à rouler qu’à porter. Je décidais qu’un bon verre m’aiderait à passer la couleuvre. Il était tôt, et alors ? Fuck ! J’arrivais lentement. Ma sœur était déjà là. En pleine conversation. Une dispute ? Non. Culpabilisation ? Sans doute. En tout cas elle détecta rapidement ma… Présence. « Bonjour ma chère sœur que j’aime trèèèèèès fort. Enfin, je crois. Je t’aimerais encore plus si tu sortais les poubelles. » Je lui lançais un clin d’œil, avant de m’approcher d’elle et de lui claquer un smack sur la joue. « Je ne surveille personne sauf mes propres fesses. Et tu sais à quel point je suis nul à ce jeu. Les filles se sont découvert, hier. Tu as raison. C’est vraiment une petite ville ici. On ne peut même pas avoir plusieurs copines en même temps sans qu’elles le découvrent toutes. » Je souriais d’un air pessimiste. « En tout cas tu dois te reprocher quelque chose vu ton coup de fil. C’était qui ? » J’attrapais une madeleine et croquais dedans. Miam.



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MessageSujet: Re: Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis Lendemain difficile ▬ Kyle Briséis EmptyMar 1 Fév 2011 - 5:20

« Bonjour ma chère soeur que j'aime trèèèèèès fort. Enfin, je crois. Je t'aimerais encore plus si tu sortais les poubelles. » - dit t-il avec un clin d'œil. C'était bien mon frère ça, toujours égal à lui-même. J'esquissais un sourire et il vint m'embrasser sur la joue - « Tu sais oh mon très cher frère combien je t'aime aussi et combien je t'aimerais encore plus si tu cessais de me prendre pour ta bonne. Encore mieux si tu engageais une femme de ménage sexy. Là ça pourrait être intéressant. » - Je lui adressais un sourire amusé. C'était ainsi entre nous. Mon frère avait toujours aimé me taquiner et je le lui rendais bien. C'était notre façon à nous de se dire « je t'aime » - « Je ne surveille personne sauf mes propres fesses. Et tu sais à quel point je suis nul à ce jeu. Les filles se sont découvert, hier. Tu as raison. C'est vraiment une petite ville ici. On ne peut même pas avoir plusieurs copines en même temps sans qu'elles le découvrent toutes. » - Ah mon frère... je l'aimais, mais ce qu'il pouvait être con parfois. Il était un véritable goujat avec les femmes, n'hésitant pas à les jeter comme il les prenait et même à en avoir plusieurs à la fois. Il semblait avoir fait définitivement un trait sur l'amour et en vue de ce qui lui était arrivé, je comprenais. Briséis avait souffert. Il était maintenant un redoutable séducteur, manipulant les femmes comme de vrais objet afin d'assouvir ses besoins... vitaux. Il faut dire ce qui est c'est un homme et les hommes ont des besoins. Ils ne sont pas comme nous les femmes. Je me réjouissais d'avoir ce qui était à mon sens la meilleure place dans sa vie. Je me demandais même si je n'étais pas la seule femme de son entourage à être traitée avec respect. Je lui avais dit que cette histoire avec les filles finirait mal, que ça lui retomberait dessus. Tout nous retombe un jour sur la tête de toute façon. Je plaignais ces pauvres femmes. Je n'aurais pas aimé être à leur place, je préférais de loin la mienne. Je n'approuvais pas vraiment sa façon de se comporter avec ces filles, toutefois, je ne disais rien. Ce n'était pas mes affaires, mais celles de Kyle. Il faisait ce qu'il voulait et d'un autre côté tant pis pour ces jeunes filles trop naïves qui pensaient être « l'unique » aux yeux de Kyle. Le seul point positif au fait qu'il ne recherche pas l'amour était que j'allais pouvoir le garder ici avec moi pour plus longtemps. Je n'étais pas pressée de le voir s'en aller ou même moi de partir. J'aimais bien notre petit appartement et notre vie à deux, ses vannes pourries et nos taquineries incessantes, nos disputes et nos réconciliations. Je suis indépendante, mais dans un certain sens je dépends de mon frère, car je me sais incapable de vivre loin de lui. C'est comme ça - « Tu as même besoin de quelqu'un pour t'aider à surveiller tes arrières à ce que je vois. » - Je marquais une courte pause - « Alors, elles se sont découverts... racontes à ton adorable sœur à quel point tu as passé un mauvais quart d'heure. J'imagine que ce n'était pas une partie de plaisir pour le coup. » - J'esquissais un léger sourire. Mon frère n'aurait pas de mal à trouver de nouvelles femmes dès ce soir. Charismatique et charmeur il les attirait tel un aimant. Autant lui que moi, nous n'avions pas de difficultés à ce niveau. Il faut croire que les Sullivan ont une sorte d'aura spéciale qui les entoure et que nous sommes capable d'attirer les attentions, les regards. Je lui lançais un regard repensant à ce qu'avait dit mon frère à propos des femmes qu'il fréquentait. Je me souvenais d'une fois où l'une de ses prétendantes étaient venus ici, après avoir compris le manège de Kyle. Complètement hystérique cette fille, elle avait juré faire de la vie de Briséis un enfer. Jurant toutes les grossièretés possibles. Le jour où un homme me traiterait comme mon frère traitait toutes ces femmes, je le tuerais... enfin façon de parler. Quoi que. Tout dépend de mon degré de colère, on ne sait jamais ce qui peut arriver avec mon pouvoir détonnant - « Sérieusement. Je ne vais pas dire je te l'avais dit, mais c'est vrai, je te l'avais dit. Il ne faut surtout pas fréquenter des personnes qui fréquente les mêmes endroits. » - Je remarquais son sourire pessimiste et ébouriffait ses cheveux au passage - « Fais pas cette tête Kyle Briséis Sullivan, le pessimisme te va très mal. » - Je lui souriais. Kyle pouvait avoir qui il voulait de toute façon. J'étais même certaine qu'il pouvait manipuler ces femmes pour les avoir à nouveau à ses pieds - « En tout cas tu dois te reprocher quelque chose vu ton coup de fil. C'était qui ? » - On y venait enfin. Mon sourire me quittait et je respirais un grand coup - « Tu vois que tu as entendu... c'était une amie. » - si il savait que cette amie en question n'était autre que Ambre Weasthon. Je décidais volontairement de ne pas l'évoquer - « Disons que ta sœur est une abominable briseuse de cœur. » - Je souriais avec tristesse. Il n'y avait pas de quoi en sourire en faite et je n'étais pas fière de moi - « Ma soirée s'est mal finie aussi, hier. Je crois qu'elle ne voudra plus jamais me reparler. » - Je lançais un long soupire - « Nous sommes des personnes ignobles, mon cher Briséis chéri. » - J'attrapais à mon tour une madeleine et croquais dedans, repensant encore une fois à la soirée de la veille. Il faudrait aussi que je contact Matt...
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