It's Isobel Williams IZZIE ◊ I want to satisfy the undisclosed desires in your heart. ♠ courrier posté : 2700 ♠ multinicks : JM. ♠ crédits : © hope&fear avatar - tumblr sign ♠ wellington suburbs : clinton avenue with Kate Laurens
| Sujet: Messagerie d'Isobel Williams Lun 30 Mai 2011 - 11:23 | |
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Hey, ici Isobel Williams. Je ne peux pas vous répondre pour le moment, alors laissez moi un message.
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It's Katharina Laurens KATE AMBRE LAURENS ◊ Girl, you're amazing, just the way you are. ♠ courrier posté : 2243 ♠ multinicks : WM . CW ♠ crédits : © ANNE+NANA avatar ; LJ blend ♠ wellington suburbs : ■ clinton avenue
| Sujet: Re: Messagerie d'Isobel Williams Sam 18 Juin 2011 - 5:59 | |
| Bip bip... Zut, la messagerie ! Il était dix-huit heures lorsque je décidais de poser mon joli minois sur l'un des lits d'une des chambres de repos de l'hôpital. Le sang avait jaillit sur ma tenue alors que mes doigts fins s'affairaient à boucher une artère tandis que l'un des chirurgiens devait recoudre l'une des fissures. J'avais promis à Isobel de l'appeler pour lui dire à quelle heure je rentrerais. Nous savions de source sûr que je ne pourrais assister à sa petite-soirée. Me changeant, je remarquais que mes sous-vêtements n'étaient aucunement assortis ce qui me décrocha un rire soudain. Composant son numéro d'une main, je me changeais de l'autre. « Allez... elle n'est peut-être pas rentrée... » Je tombais sur la messagerie de notre fixe, zut. « Salut mon cœur », j'en profitais pour m'assoir de nouveau sur le matelas, « je voulais simplement te dire que je pensais rentrer aux alentours d'une heure sauf urgence », je me laissais tomber en masse sur l'oreiller, « tu sais », je pouffais, « je me suis rendue compte en me changeant -oui parce qu'une artère a explosé alors que je la bouchais, c'était sympa-, bref, que j'étais dépareillée... », j'émis un rire bref, « tu sais l'ensemble rouge ? », j'ai toujours eu tendance à poser des questions à un répondeur, « tu ne saurais pas ou il est ? ce n'est pas le string que tu as jeté par la fenêtre en hurlant que je n'en aurais plus besoin », je ris, encore, « ... l'autre jour ? Bon quoi qu'il en soit, ne veilles pas pour moi, embrasses tes sœurs de ma part. Passe une bonne soirée, je pense à toi. » Je raccrochais.
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