IDENTITY CARD

PRÉNOMS & NOMS ♣ Kyle Briséis Sullivan
DATE/LIEU DE NAISSANCE & ORIGINES ♣ Le 10 Juin 1985 en Alaska.
STATUT CIVIL ♣ - célibataire -
PROFESSION/ÉTUDES ♣ J'ai fait des études de Droit, avec Grenadine. Puis j'ai abandonné. Je me suis lancé dans le F.B.I. Puis j'ai abandonné. Je me suis lancé dans les bars. Et j'y passe ma vie de Barman.
TRAITS DE CARACTÈRE ♣ ■ méchant ■ sarcastique ■ direct ■ charmeur ■ manipulateur ■ sociable ■ joueur ■ critique ■ manque de tact ■ analytique ■ mystérieux ■ égoïste ■ rancunier ■ nostalgique ■ détruit ■

Code:

- nostalgique -

Je n’ai jamais su profiter du moment présent. J’ai toujours été en retard, tout le temps. J’aimerais revenir dans le passé. Être de nouveau dans leur bras. J’ai aimé Olive parce qu’elle était mon opposée, mon ange. J’ai aimé Clémentine parce qu’elle lui ressemblait. Et j’ai aimé Grenadine pour leur échapper à toutes deux. Je n’aurais pas du faire ça. Mais je ne suis pas fait pour vivre seul. Je ressasse sans arrêt le passé. Je supposais que le futur ne pourrait qu’être meilleur si j’oubliais des douleurs encrées en mon cœur. Mais je ne fais qu’y repenser. Je devrais aller de l’avant, mais mon âme m’empêche d’essayer. Je les aimais, je les aime, et je les aimerai chaque jours que dieu fait. Jamais elles ne reviendront, pourtant j’aime à m’imaginer à leur côté, le temps d’une soirée avec une inconnue. Leur prénom s’échappe alors de mes lèvres. La fille n’est pas contente, elle s’en va. Mais je m’en fiche parce que l’espace d’une seconde elles étaient avec moi.

Code:

- manque de tact -

On me dit que je suis trop franc, que je devrais être diplomate. Mais je le suis. Il y a juste des jours où je préfère ne pas me prendre à chercher des formules « polies ». Après il y a la maladresse du débutant, celle de l’expert. Mes mots peuvent être crus. Si c’est le cas, c’est que je veux provoquer une réaction chez mon homologue. C’est instinctif. Je n’aime pas que les gens soient passifs. Je ne l’ai été que trop, je préfère les réveiller, les opposer à leur problème. Leur offrir la chance que je n’ai pas eu. Avant de redevenir le méchant de l’histoire. Parce qu’il ne faut pas se leurrer, je suis méchant. Si je suis compatissant, c’est parce que mon passé me le permet. Et que quelquefois j’ai envie de faire honneur aux femmes de ma vie, à celle qui m’ont éblouis par leur beauté intérieure.

Code:

- changeant -

Certaines personnes me connaissent calme. D’autres me voient comme agité. Un caractère ne reste jamais figé, il est sans cesse en évolution. La cause de cette métamorphose ? La personne qui nous fait face. Alors je suppose que ma plus grande qualité, et mon plus grand défaut, se contient amplement dans le changement. Entendons-nous bien, j’aime ma routine quotidienne. Je ne la changerais pour rien au monde. Mais il y a des choses qu’on ne contrôle pas. Je désire tout savoir de moi, tout comprendre, tout manier : mais il m’est impossible de faire tout ça. Je suis à moi seul, une énigme. Ma tête n’enfle pas. Je ne dis que la vérité. Peut-être auriez-vous aimé que je dise que je suis l’une des énigmes du monde ? C’est vous, les narcissiques de l’histoire. Nous sommes tous des énigmes. Même à soixante-dix ans, personne ne se connait. Certaines de nos réactions nous surprennent, et elles le feront toujours.

MY DIARY

Hier j'étais innocent.
Demain, peut-être pas.

o1 La Fillette.

« Il y avait cette fille, Olive. Elle était super chiante. Franchement je ne pouvais pas la supporter. Toujours ce sourire niais, ce bonheur de vivre. Ca me bouffait. Je trouvais ça dégueulasse vis-à-vis des autres, de moi. Parce que moi, quand j’étais gosse, je voulais pas sourire. Parce que ma vie elle était moche, je vois pas pourquoi j’aurais été sautillant et heureux. Du coup j’étais assez calme et solitaire. Même à cinq ans. Les filles me trouvaient timide à souhait. Elles m’aimaient déjà. Olive était une admiratrice chiante, énervante. Je ne l’aimais pas du tout. Je prenais même un malin plaisir à la ridiculiser. C’était super marrant. Ca me permettait de me venger de ce sourire ravageur. Oui, je ne l’aimais pas du tout… Et puis un jour elle n’est pas venue à l’école. Les autres me taquinaient parce que j’étais nerveux. En fait, elle me manquait un peu. Je n’avais pas remarqué qu’elle était mon petit soleil. J’essayais d’opprimer mon cœur, même à cet âge là. Et puis la maîtresse est entrée dans la classe. Larmoyante. Les yeux rougis de fatigue, de tristesse. Elle disait qu’Olive était montée au ciel après des mois et des mois de lutte contre un méchant virus. Les enfants souriaient, riaient. Ils étaient tous contents pour Olive. Le ciel, elle devait voler qu’ils disaient. Moi, j’ai pleuré. Les autres ne comprenaient pas pourquoi. Mais moi je savais ce que signifier cette phrase « bateau ». Je m’attendais chaque jour à l’entendre pour annoncer la mort de maman. Oui, il y avait cette fille, Olive. Elle était super chiante. Toujours ce sourire niais, ce bonheur de vivre. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle cachait un si lourd secret… »

Aujourd'hui je suis souillé.
Demain, peut-être pas.

o2 La Demoiselle.

« Il y avait la fille, Clémentine. Elle était super canon. Franchement, je l’aimais bien. Toujours un petit sourire en coin, une pensée derrière un mot. Elle était unique en son genre, brillante et drôle. Avec elle, je m’éclatais. C’était sex, drugs and rok’n’roll. La mode, à l’époque. On était sans arrêt fourré ensemble, toujours à rire, à s’embrasser, à écouter de la musique et à se droguer. Ni plus, ni moins. Elle était simple, Clémentine. Naturelle et tout. Elle avait quelque en elle, une prestance qui faisait qu’elle n’était pas totalement fille. Elle ne tombait jamais dans la niaiserie. D’une certaine façon elle me faisait penser à mon premier amour. Olive. Parce que je supposais que je l’avais aimé. Elles semblaient toutes deux uniques, pensives, heureuses en ma compagnie. Et cela même après être passée dans mes blagues salaces ou noires. C’était une qualité profonde et je vénérais cet esprit pratique chez une fille : elle ne me prenait pas le chou, juste l’éclate : point barre. Ensemble on avait connu un groupe d’amis. Ils nous ressemblaient, alors on a fait la fête avec eux. Une fois, deux fois, trois fois. La quatrième on a décidé de s’amuser plus intimement tous ensemble. C’était mon fantasme à l’époque, coucher à plusieurs. Me faire deux filles à la fois, ça devait être marrant. Epuisant aussi. Je n’avais pas vu le regard de Clémentine, ses yeux réticents, possessifs avec moi. Mais elle n’avait rien dit, avait même participé avec ardeur. Cette soirée là je ne l’ai pas vu boire plus qu’ordinaire. Je ne l’ai pas vu s’effondrer. Ou plus tôt j’ai cru à la fatigue. On s’était sans doute un peu trop déchiré, que j’avais pensé. On se rattrapera demain, que j’avais dit. Il n’y a jamais eu de lendemain. Du moins pas pour Clémentine, morte d’un coma éthylique. Oui, il y avait la fille, Clémentine. Elle était super canon. Toujours un petit sourire en coin, une pensée derrière un mot. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle ne puisse pas se réveiller… »

Demain je serai sage.
Après-demain peut-être pas.

o3 La Madame.

« Il y avait une fille, Grenadine. Elle était superbe. On se complétait. C’était à la fois étrange et tout à fait normal. Toujours un petit sourire apaisant, magique. Elle était plus qu’unique. Elle était mon unique à moi. Avec elle, je me sentais revivre. Je n’étais plus un lâche, je prenais le courage et j’allais au devant du danger. J’étais prêt à tout pour un seul de ses baisers. Je n’avais jamais ressenti pareille extase sexuellement. Elle battait des records. Et selon elle, ou plus tôt ses cris, j’étais plus tôt doué… Grenadine savait me calmer, me réconforter, me pousser toujours plus loin. Nous étions parties pour vivre ensemble, pour créer un foyer. Elle avait calmé mes nuits, moi qui ne les passais jamais sans cauchemar, avec elle j’étais comblé. De rêves. Olive disparaissait sous ses caresses. Clémentine sous ses baisers. J’oubliais tout dès lors où elle posait son corps sur le mien, sa main sur mon bras. Le monde ne se colorait que lorsqu’elle était présente à mes côtés. J’étais fière de l’avoir, de la posséder. Elle était la femme de ma vie, l’être aux mille Merveilles. Mais surtout elle n’avait pas peur. De ce que j’étais devenu. A ses yeux, je ne ressemblais pas à un monstre. L’hypnose, elle s’en fichait. Elle savait que j’étais meilleur que ça, trop bien pour m’abaisser à de telles pratiques, trop bien pour ça… J’aurais préféré ne jamais croiser sa route, néanmoins. Parce qu’encore une des principales femmes de ma vie disparut brutalement. Rien ne le laissait penser, pourtant. Nous étions encore dans l’euphorie d’un nouvel arrivant : notre enfant. Nous étions jeunes, mais qu’importe. La vie n’attend pas. C’était ses dernières paroles. Et c’était vrai. La vie ne l’a pas attendu. Une fausse couche a été fatale. Je ne savais pas quoi dire, pas quoi faire. Elle qui m’apaisait, je ne savais pas comment la réconforter. Elle a fini par le faire par elle-même. Elle s’est donnée la mort. Oui, il y avait une fille, Grenadine. Elle était superbe. Toujours un petit sourire apaisant, magique. J’aurais aimé être capable de mieux. Elle qui croyait que j’étais le meilleur… Je n’ai fait que la décevoir. »

I WANT TO KNOW MORE

QUEL EST VOTRE DON ? QUEL EST SON FONCTIONNEMENT ? ♣

Collateral Damage a écrit:

HYPNOSE : Permet de manipuler un être par le regard sans que celui-ci ne s'en souvienne.

- Il y a dans mes yeux quelque chose, qui cloche. Un problème sans nom, je crois. Et si l'on te question à son propos, il faut nier en bloc. C'est là le fond de ma pensée. Les gens n'aiment pas ce qui "cloche" alors j'évite de répondre à leur question intarissables. Ce n'est pas particulièrement difficile, je n'ai qu'à piéger leur yeux dans mon regard, et le tour est joué. Ils deviennent des pantins, et je suis le marionnettiste. Certains abuseraient de ce pouvoir. J'en suis. Je l'utilise souvent à mauvais escient. S'il m'a été donnée, s'est pour m'en servir après tout ? Alors je peux dire que je m'amuse comme un petit fou. Et faut dire qu'il colle à ma personnalité. Bon... Je me prends un peu trop pour Dieu dès fois, alors j'essaye de restreindre. Ou plutôt d'utiliser les bonnes vieilles méthodes de manipulation. Le truc sympathique comme tout. Mais lassant. Les nouvelles méthodes, elles, m'impressionnent toujours. Me surprennent. Mais m'épuisent énormément. L'effort demandé inclut une dose d'énergie. Celle-ci m'est "prélevée" pour chaque effort demandé. -

COMMENT VIVEZ-VOUS AVEC CE POUVOIR ? ♣

Collateral Damage a écrit:

Certaines personnes le vivent mal. Mutilation devienne leur mot de l'année. Et toi, tu t'en sors comment ?

- Plus tôt bien. Je dirais même très bien. Quand je vous dis que ça m'amuse comme un dingue. Bon, je dois dire qu'au début j'ai été déstabilisé. Je n'avais pas pour habitude d'arriver à mes fins aussi vite, et cela dans chaque domaine. Mais j'ai fini par comprendre ce qui clochait. J'étais petit à petit vidé de mon énergie vitale. Ça a été assez simple, après ça, de me maîtriser. Peut-être est-ce lié à ma forme physique, ou encore à mon développement cérébral supérieur à la moyenne. Je ne sais pas. Je ne cherche pas vraiment à comprendre, en même temps. Je m'amuse, je profite et je veille à mon énergie. -

HORS JEU

AVATAR | CODE DU FORUM ♣ Ian Somerhalder | CODE OK BY EVY
PSEUDO / AGE ♣ RidiculementVotre | 16 ans
GROUPE ♣ - others -
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? COMMENTAIRES ? ♣j'y joue Hailey. Je n'ai pas vu de "règlementation des D-C dans le règlement. Je me permets donc ^^

© mise en page by collateral damage

Matt Lanter
Re bienvenue parmi nous. Non, il n'y à pas de réglementation concernant les doubles comptes. Tu as tout à fait le droit d'en avoir un, si tu penses pouvoir gérer. Bonne continuation pour ta fiche

Bienvenue

Oh mon pauvre frère ♥ J'aime ce que tu as écris, c'est parfait, mais c'est trop triste. En tout cas, tu es validé. J'espère que tu t'amusera tout aussi bien avec ce nouveau personnage