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| sing me a LULLABY (finie!) | |
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It's Invité
| Sujet: sing me a LULLABY (finie!) Ven 10 Déc 2010 - 5:40 | |
| IDENTITY CARD PRÉNOMS & NOMS ♣ Lùllaby Hermione Gallagher. DATE/LIEU DE NAISSANCE & ORIGINES ♣ 23 décembre 1986 à Miami (Floride). STATUT CIVIL ♣ Célibataire. PROFESSION/ÉTUDES ♣ Photographe. TRAITS DE CARACTÈRE ♣ Solitaire, sérieuse et peureuse.
« Solitaire. Depuis toujours, d'ailleurs. Surement la faute à mes parents, qui étaient rarement à la maison. Ou tout du moins, ils n'étaient pas souvent là pour moi. C'est peut-être de là, que c'est forgé mon caractère si solitaire. J'ai toujours eu du mal à m'intégrer aux autres. Un peu comme si je n'avais pas ma place, parmi la foule. Peut-être était-ça, finalement. Je n'étais surement pas capable de me mêler aux autres. Pourtant, j'étais comme eux. Et je ne demandai qu'à leur ressembler. Qu'à me fondre avec eux. Mais ce n'était pas si facile. J'étais, au lycée, la fille sérieuse, parfois en tête de classe. J'étais loin d'être la fille populaire qui plaisait à tout le monde, et qui dansait des pompoms à la main. J'étais plutôt la fille discrète, assise à un banc, le nez dans un livre ou la tête dans les nuages. Le genre de fille à qui on a pas forcément envie de parler, parce qu'elle n'est pas populaire. C'était tout moi. J'aimais lire, et étudier. Mais c'était surtout par envie de changer le passé que mes parents avaient pensé pour moi. Je serai une femme de ménage, ou tout au plus une assistance de bureau. Mais je voulais plus. Je voulais un travail passionnant, qui me rende importante. Qui montre que j'existe, un peu. Alors je travaillais, et très dur. Et puis, le mauvais côté. J'étais peureuse. En faite, je l'ai toujours été. J'avais peur de tout, et de rien. Peur de gâcher ma vie, de perdre le peu de mes amis. Peur de me faire agressée dans une ruelle en rentrant du travail. Et depuis l'agression, le phénomène s'était multiplié. Je ne voulais plus gouter à l'extérieur. Je ne voulais plus sortir, plus jamais. Je ne voulais plus le soleil, au grand jour. Je me contentais de ce qu'il se trouvait derrière les fenêtres, derrière l'écran de télévision. J'étais peureuse, solitaire et sérieuse. Et j'avais tout pour ne pas avoir d'amis. »
MY DIARY
bonjour. je ne suis pas un fantôme.
« Je suis née à Miami, en Floride. Une ville dite de paillettes, de belles plages et de soleil. Durant ma tendre enfance, jamais je n'ai pu toucher ce doux portrait. Pas même du bout du doigt. Je rêvais d'une vie d'artiste, comme ceux que l'on voyait sur un écran de télévision. Je rêvais de pouvoir aller à la plage tous les jours, et de me laisser emporter par les douces vagues qui auraient chatouillé ma peau. Mais j'avais le teint d'une porcelaine. Ma peau goûtait rarement au soleil, et mes mains aux joies du sable. J'étais trop fragile, selon ma mère. Une merveilleuse esquive, pour dire qu'elle travaillait trop. Pour dire qu'elle n'avait pas le temps. Je n'ai jamais eu la chance de dire que ma famille était géniale. Cependant, je ne m'en suis jamais trop plaint. J'aurai voulu que ma mère me coiffe souvent, telle une petite poupée de porcelaine. Que mon père joue avec moi au grand air, à n'importe quoi. J'aurai voulu rire comme d'autres enfants le faisaient, avec leurs parents. J'aurai aussi voulu être blonde aux cheveux bouclés. J'étais brune aux cheveux lisses, avec un teint beaucoup trop pâle. Je n'ai jamais dit que j'étais heureuse, ou que j'étais malheureuse. J'étais juste une petite fille tranquille et calme, qui attendait sagement le retour de sa mère le soir, et qui avait le loisir de regarder son père vidait des bouteilles de mauvais whisky. J'étais déjà en âge de comprendre que je n'avais pas l'importance du travail de ma mère, ni le gout de l'alcool que mon père aimait tant. J'étais pourtant très jeune. Peut-être même trop. Mais je comprenais. Je savais. Et c'était inquiétant. Je demandais à ma mère de me porter un peu d'attention. J'aurai fait n'importe quoi, pour qu'elle sorte le nez des feuilles noircies sur lesquelles elle travaillait. Pour qu'elle m'adresse un sourire, plutôt qu'un signe de main qui m'informait que je la dérangeais. Alors j'essayais de tout mon cœur de me rabattre sur le peu d'amour qu'il pouvait me rester : celui de mon père. Je faisais le clown, lui apportait des beaux dessins et lui chantait de tendres comptines. N'importe quel père aurait été émerveillé: excepté le mien. Trop occupé à observer si son verre était assez plein pour satisfaire son besoin d'alcool. Parfois, il me faisait peur. Oh, je ne me rappelle pas bien. Mais j'arrive encore à distinguer ses gestes fous et sa démarche chancelante. J'étais seule, toujours seule. Si bien que je me complaisais à rester dans cette solitude qui m'avait prise sous son aile. Je m'imaginais des histoires folles, dans ma petite chambre d'enfant. Je cavalais sur mon cheval à bascule, parée de mon plus beau chapeau de cow boy, et partant à la recherche d'Indiens. Et surtout, partir à la recherche d'une vie meilleure que celle qui s'offrait à moi. »les années lycées seront les plus belles de ta vie!« Des mots auxquels je n'ai jamais cru. Je savais à quoi m'attendre, en devenant une étudiante, une vraie. Une vie qui n'allait guère me plaire. Je n'étais une fille populaire, une fille à laquelle on s'attardait, à laquelle on s'intéressait. Je n'appartenais à un club, je ne faisais pas de sports de haut niveau. J'étais une fille normale, qui voulait ressembler aux autres. Pour dire vrai, je n'ai jamais envié la popularité des filles qui étaient sur un piédestal : j'avais bien trop peur d'être hissée très haut, et de me retrouver six pieds sous terre, quelques mois plus tard. Je n'étais pas douée en sport : ma carrure ne m'assurait pas d'être une bonne sportive. J'étais trop chétive, selon certain. Et surtout, bien trop maladroite. J'étais la bête noire de mes camarades, lors des cours de gym. En revanche, j'étais la fille qui bossait, la fille qui passait son nez avec un livre devant le nez. Tout m'intéressait, même si j'avais une préférence pour les arts et la littérature. J'étais aussi celle que l'on regardait avec déception, lorsqu'on nous rendait des copies : j'étais une bonne élève. J'étais sérieuse, et les autres le savait. J'avais une motivation bien supérieure à la leur. Je ne voulais plus vivre comme j'avais vécu auparavant. Je ne voulais pas me priver, comme mes parents le faisaient. Je ne voulais pas vivre entourée de contraintes. Alors j'aurai mon diplôme, et un bon travail. Un bon salaire, et je serai heureuse. C'était mon objectif le plus fort. C'était ce qui me faisait aller de l'avant. Je me fondais difficilement aux autres, j'avais du mal à bien m'intégrer. Oh, j'avais des amis. Mais c'était différent. Je n'étais pas comme les autres. Je n'étais pas ce que je voulais. Ma vie prenait une tournure qui me lassait, mais je n'avais pas d'autre choix que de m'accrocher. Et bien vite, j'appris que la présence d'une personne qu'on aime change totalement la donne. »je voulais une vie nouvelle : j'ai été servi.« Et puis le temps passait. J'avais mon diplôme, mon studio, et était devenue une photographe en herbe. On me disait douée, ce qui me donnait le courage de continuer, toujours plus. C'est grâce à mon métier que j'ai rencontré l'homme que je croyais l'homme de ma vie. Maxime. Un charmant français au sourire ravageur et au regard prenant. Un beau ténébreux, comme je les aimais. Inutile de vous dire que nous nous sommes plus rapidement, et que plus les mois défilaient, plus je l'aimais. Je l'aimais, je l'aimais, je l'aimais. Tellement. J'avais eu une dose de nouveauté qui avait changé ma vie. J'étais devenue heureuse, radieuse et je cartonnais niveau professionnel. Ma vie était au plus haut de ce qu'elle pouvait être. Et fatalement, je croyais que je pouvais aller encore plus haut. Et j'en voulais plus. Toujours. J'étais désireuse d'une vie hors normes, qui ne relevait plus de la banalité ennuyante dans laquelle j'avais été plongé. Et puis tout s'enchaîna. Vite, si vite... Il me demanda ma main. Il voulait que je devienne sa femme, la mère de ses enfants. Je n'avais que vingt-quatre ans. Et malgré tout, je nageais dans le bonheur. J'avais choisi une belle robe, et je m'étais maquillée. J'étais jolie. Je me trouvais jolie, dans cette robe si blanche. Je me contemplais une dernière fois devant le miroir, avant de rejoindre les invités et le prêtre, pour le oui qui allait changer ma vie. Je me forçais à sourire, un instant. Ce reflet, il ne me ressemblait pas. Ce n'était pas moi. Je ne voulais pas devenir une femme au foyer, avec quatre enfants sur les bras. Pas maintenant. Pas si vite. J'étais jeune. Je voulais encore vivre, et je savais que je condamnais si je prononçais le mot que tout le monde attendait. Non. Non, ce n'était pas cette vie que je voulais. Un dernier sourire se dessina sur mes lèvres, avant de glisser mes mains sur mes épaules nues. Avec grand soin, j'avais posé la robe sur une chaise, avais pris les premiers vêtements que j'avais sous la main, et m'étais enfuit par la grande fenêtre. J'avais l'impression d'être une héroïne de série télévisée, et d'être celle qui allait briser la vie d'un homme avec qui j'avais passé plusieurs années de ma vie. Je ne voulais pas étouffer. Je voulais juste vivre. Rapidement, je fis ma valise, et partie à l'aéroport. Mon regard s'était perdu sur le panneau, où s'affichait trop de destinations. Et sans réfléchir, je pris un billet pour la première. Je partais pour Wellington au Kansas, une ville dont j'ignorais tout. Et j'ignorai surtout les soucis que cette dernière allait m'apporter... »ne jamais dire jamais.« Malgré des débuts difficiles, la ville me plaisait. Wellington était agréable, et j'étais excitée à l'idée d'explorer de nouveaux paysages pour faire de nouvelles photos. J'en pris plusieurs, et une d'elle changea ma vie: une pluie de pierre étrange, qui m'affola horriblement. Des météorites, plus exactement. Par chance, mon hôtel n'était pas loin, et je pus rapidement me mettre à l'abri. La panique avait frappé la ville, et en particulier ma chambre d'hôtel. J'étais une véritable trouillarde, et avais horreur des phénomènes bizarres. Et quel phénomène... Et la ville ne fut pas touchée que par des dégâts matériels, mais je l'ignorai encore. Pour dire vrai, j'eus du mal à sortir de mon hôtel, miraculeusement épargné. Et quelle fut ma surprise à ma sortie... J'étais prise de mal de tête horrible, de malaises qui me rendaient malade. Je ne comprenais plus ce qu'il m'arrivait. J'avais pensé à tout : une carence en quelque chose ? un oubli de contraceptif au mauvais moment ? Rien de tout ça. Ma chance phénoménale m'avait donné un don dont je me serai bien passée : un don d'empathe. Ainsi, je ressentais les sentiments et les maux des personnes qui s'approchaient trop près de moi. Autant dire que c'était un véritable enfer. J'étais en contact permanent avec les gens, la faute à mon travail. Ma vie était devenue un enfer; mais j'ignorai que le gout de l'aventure allait m'ouvrir les portes de l'enfer. Pas le véritable enfer. Celui qui vous terrorise. Celui qui vous glace le sang, qui vous donne l'envie de pleurer, qui vous donne l'envie d'en finir. Jamais je n'aurai cru avoir le désespoir d'en arriver là. Mais durant mon semblant de vie, j'appris qu'il ne fallait jamais dire jamais. Je ne me souviens plus du jour: j'ai préféré l'oublier. Un mardi. Il faisait trop sombre, pour y voir vraiment clair. Je sortais de mon travail, pressée de retrouver l'hôtel où j'avais posé mes valises depuis mon arrivée dans la ville. Jamais je... jamais je n'aurai cru ressentir un tel mal-être. Une telle peur, une telle honte. Tout c'était passé vite. J'avais été tiré par le bras, puis violemment plaquée contre un mur. Le sentiment que m'émanait l'homme était mauvais, malsain. Et puis son poing frappa mon ventre, me pliant en deux. J'avais mal. Je ne comprenais pas. Pourquoi moi ? Qu'avais-je fais de mal ? Un autre poing vint s'écraser, avant de sentir une main froide sur ma peau. Mes vêtements glissaient sur mon corps, alors que j'essayais de hurler corps et âme pour qu'on m'entende. Mais c'était trop tard. De chaudes larmes coulaient sur mes joues. Je ne pouvais pas me débattre. Son emprise était trop forte, et sa main plaquait trop durement ma bouche. L'enfer s'ouvrait sous mes pieds. Et déjà, la banalité me manquait. Et par chance, mes prières furent entendues. Un homme s'approchait de mon agresseur et de moi même, peu de temps après qu'il eut glissé un couteau sous ma gorge. Cet homme, c'était Jayden. Je ne vis pas la suite de la scène. Me yeux s'étaient fermés si forts, j'avais si peur... Rapidement, je remis mes vêtements sur le dos, avant de m'écrouler au sol. Mes jambes étaient de chiffon, et mon esprit était noyé dans l'horreur de la situation. Le brun qui était venu à mon secours était d'une gentillesse déconcertante. Il m'amena chez lui, et je l'avais suivit sans penser à qui il pouvait être. Et je m'en fichais. J'étais un dans état tellement végétatif et choqué que je n'étais plus capable que de pleurer. Je me sentais affreusement sale, souillée. Je n'ai jamais quitté le domicile de Jayden. J'appris qu'il était membre du FBI, et que je ne risquais rien, par conséquent. Malgré son statut, je ne voulais plus sortir. J'avais trop peur de me faire agresser de nouveau. Et j'avais tout abandonné. J'aurai voulu être une femme au foyer, avec quatre enfants à charge et mariée avec l'homme que j'avais laissé à l'hôtel. Tout était de ma faute. Le destin s'était simplement vengé. »
I WANT KNOW MORE QUEL EST VOTRE DON ? QUEL EST SON FONCTIONNEMENT ? ♣ - Lùllaby a le don d'empathie. Un don qui lui bouffe la vie, qui la fait énormément souffrir. Elle a beaucoup de mal à s'y faire, et fait tout pour l'oublier. Difficile pour une femme qui doit être en contact constant avec les gens... Elle a souvent des mal de crânes atroces, et parfois des étourdissements. Le simple fait de s'approcher d'une personne lui fait ressentir l'émotion qu'il éprouve: joie, douleur, haine... tout y passe. COMMENT VIVEZ-VOUS AVEC CE POUVOIR ? ♣ - Mal. Vraiment très mal. Lùllaby voit ce don comme un véritable handicap plutôt qu'un don du ciel. Elle évite, depuis qu'elle a compris son fonctionnement, d'avoir trop de contacts avec les gens, pour lui épargner un semblant de douleur.
HORS JEU AVATAR / CODE DU FORUM ♣ Gemma Arterton / OK BY W. PSEUDO / AGE ♣ Annabelle / Dix-neuf ans. GROUPE ♣ - studies COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? COMMENTAIRES ? ♣ Sur Bazzart ! Je le trouve beau et cool!
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Dernière édition par Lùllaby H. Gallagher* le Ven 10 Déc 2010 - 11:58, édité 5 fois |
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It's Jaymee McKinley maybe tomorrow I'll find my way home ♠ courrier posté : 5934 ♠ multinicks : I.W ♠ crédits : © hope&fear avatar - tumblr gif ♠ wellington suburbs : high street with McKinley family
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It's Invité
| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) Ven 10 Déc 2010 - 7:44 | |
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It's Katharina Laurens KATE AMBRE LAURENS ◊ Girl, you're amazing, just the way you are. ♠ courrier posté : 2243 ♠ multinicks : WM . CW ♠ crédits : © ANNE+NANA avatar ; LJ blend ♠ wellington suburbs : ■ clinton avenue
| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) Ven 10 Déc 2010 - 8:50 | |
| Bonjour, ravie de t'avoir parmi nous Bonne continuation pour ta fiche N'hésites pas à passer dans le flood si tu as envie de faire une pause dans ta présentation Je reste à ta disposition pour toute question (de plus je suis là ce soir), voilà |
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It's Invité
| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) Ven 10 Déc 2010 - 9:11 | |
| MA LULLABYYYYYYYYYYYY En plus avec Gemma Je t'aime Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Si tu as des questions sur le scénar', hésite pas (a) |
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It's Invité
| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) Ven 10 Déc 2010 - 9:47 | |
| Merciiiii ! Ta Lùllaby est lààà! Et oui, avec Gemma *bave*. Si j'ai besoin, je te mp alors ! :'D
EDIT : je crois que j'ai fini! |
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It's Wyatt J. Matthews For why you're not around, and feeling so useless, It seems one thing has been true all along. ♠ courrier posté : 1832 ♠ multinicks : ■ KL ♠ crédits : © oxymore avatar; Gif drey ♠ wellington suburbs : High Street ♠ feat Hailey & Kristen ■
| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) Sam 11 Déc 2010 - 1:19 | |
| Bonjour Lullaby ! La précédente a été supprimée, tu peux donc retirer l'étoile de ton pseudo. Très belle fiche, tu es donc validée Il ne reste plus qu'à voir avec Jayden si ça lui convient mais je te valide quand même, ceci te permettras de commencer tes RPS. N'oublie pas de te recenser dans le listing des logements/métiers (je ne sais pas si tu habites avec Jayden je n'ai pas lu le scénario en entier). Si tu veux faire partie de la justice league, il te suffit de remplir le formulaire dans la section appropriée, les autres sections sont en cours. Et... un petit commentaire sur Bazzart ? Bon jeu sur CD ! |
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It's Invité
| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) Sam 11 Déc 2010 - 1:23 | |
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| Sujet: Re: sing me a LULLABY (finie!) | |
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